L'aventure se termina entre autre par une très belle histoire vraie sur la 
3ème étape,
Préface: je tente cette 
fois un texte au triple sens (donc du 3ème type) pour y relater des événements pourtant tous réels. La 
lecture que vous en ferez dépendra aussi de votre âme.
Voici les premiers indices:
  
    | 
     
     Ici 
    on parle d'un choc de 
    civilisation provoqué par le déraillement d'un tramway électrique de 
    l'ingénieur Raffard en 1881 et dont les conséquences dans l'espace 
    spatio-temporel se sont percutées sur la Toujours Contente en ce 3 juin 2007 
    à 15H41 précise, il s'en est fallu d'un palm35 d'écart, d'un bain repoussé et de quelques 
    minutes de retard ou d'avance pour que ce choc culturel n'eût jamais lieu. 
    En effet, en cette journée du 3 juin, il s'est produit une série 
    d'événements  extraordinaires aux conséquences absolument incalculables 
    provoqués par l'ébruitement de cette affaire d'un tram qui déraillait 
    volontairement sur l'action d'un volant. L'enchaînement de tous les faits 
    depuis le 30 mai n'avait qu'un seul objectif faire que la Toujours Contente 
    arrive au sommet du Puymorens à 15H41 précise et sache qu'elle le quittera 
    via Perpignan et non via Mirepoix puis Carcassonne comme certaines forces ont 
    tenté de l'y inciter (voir les preuves sur le forum du Prius Touring Club). 
    Ce jour, cela a commencé par des véhicules silencieux qui en montant le col 
    ont tous doublé une ombre sans l'apercevoir, puis ce fut l'appuie du 
    déclencheur de l'appareil de photo que l'équipe Belenos m'avait confié pour 
    que je les prenne tous en photo devant leur chef-d'œuvre, mais avec 3 
    secondes de retard le temps de laisser passer un présage, puis ce fut cette 
    fiche sur un déraillement qui c'est produit en 1881 et que Palm35 m'a remis 
    pensant que je ne pouvais être que le seul destinataire d'un tel message à 
    l'encre de chine sur un tramway de 1881 fonctionnant sur accumulateur et qui 
    était équipé d'un moteur Siemens. Depuis, j'ai beau eut d'observer tous les 
    clichés pris par Palm35 et par moi même aucune trace sur les SD card de la 
    force surnaturelle qui a monté ces documents jusqu'à 1915 mètres d'altitude. 
    Alors, comment prouver qu'il était bien là pour nous indiquer la voie? 
    Dans retour vers le futur, il a bien cette scène du facteur sous la pluie 
    qui remet un pli à Marty Mac Fly venant du lointain passé pour parler du 
    futur et jamais je n'aurais pensé que cette scène allait me tomber dessus 
    pour de vraie et ce à 1915 mètres d'altitude. Pour dénouer ce nœud 
    spatio-temporel il va falloir que chacun des acteurs concernés examine la 
    succession des événements qui se sont passés depuis le 30 mai et lise ce que 
    je vais progressivement vous dévoiler pour comprendre en quoi ils ont été 
    impliqué dans ce nœud et là ou cela va les projeter dans le futur. Pour les 
    autres vous allez découvrir une belle histoire vraie.  | 
  
Premiers indices: Rien 
que la Photo de la Toujours Contente devant Thémis, qui n'était pas au programme 
du parcours Phébus mais qui avait comme objectif de gâcher de l'énergie: la 
Toujours Contente étant trop chargée à la sortie du four solaire d'Odeillo pour pouvoir 
emprunter directement la descente vers Bourg Madame. Et pourtant je le savais, 
et j'ai chargé à 
fond à Odeillo. Une connerie car "Batterie pleine = 
plus de frein moteur = Danger". Le détour vers Thémis a donc 
permis de vider un peu la batterie. Le faire devant Thémis est un symbole, cet 
événement non prévu allait faire passer la Toujours Contente du premier rang d'ordre 
de passage des concurrents du Phébus au presque dernier rang avec pour 
conséquence que cela a failli faire prendre du retard sur l'arrivée du Phébus au 
sommet du col. Une force irrésistible m'a fait partir en premier du point 
d'arrêt de regroupement de Porté les Puymorens en annonçant que la Toujours 
Contente allait gravir le Puymorens à 45 km/h vitesse constante. Laurent K m'a 
d'ailleurs affirmé qu'il valait mieux que je passe devant dans ce cas car aucun Sunracer ne pouvait suivre ce rythme. L'histoire a montré que si, tellement 
Belenos est extraordinaire.  Bref la Toujours Contente en 12 minutes s'est 
retrouvée en haut en ayant mangé 25% de sa batterie mais en passant devant le 
présage sans le voir aussi. (me culpa à moi aussi)
2ème indice: La carte à l'encre de 
chine 
  
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Le 31 mai un improbable vieil homme quitte Poitiers pour aller prendre le chemin de fer seul avec une petite besace et sa canne en bois en direction de Lyon. Il doit d'abord aller vérifier une histoire de mécanique sur des voitures anciennes dans un très grand musée 
mais trop privé à la gloire du passé prestigieux du transport de marchandise par la route. Il est bien pourtant passé une ultime fois au cyber café au coin de sa rue 
en ce petit matin pour juste vérifier, si ce rendez-vous avec les extrasolaires est toujours planifié 
ce dimanche 3 juin à  16H30 à ce plus de 1900 mètres d'altitude dans les Pyrénées. 
Mon dieu que c'est loin. Dans sa tête, toujours le même message, cette année 
peut-être, souhaitons enfin qu'ils existent. Aussi, Il a bien pris avec lui son précieux petit carnet de notes 
scientifiques et son vieux stylo à bille bleu qui a fréquenté tant de 
bibliothèques d'illustres chercheurs tel Jean-Albert Grégoire et son 
extraordinaire tome 2 sur la voiture électrique désormais introuvable, et qui 
lui ont permis de noter toutes ces références et ces faits marquants de tout 
ceux qui ont tenté de faire avancer les automobiles avec des électrons. Le 
premier c'est bien Raffard ce dit-il.  Il a pris aussi son petit guide avec les horaires des chemins de fer français, 
il est bien dans sa poche droite de sa pelisse, et enfin il a aussi son chapeau 
beige. Ah, reste le plus important, dans sa besace il a placé les précieux cahiers à  prédictions, qu'il doit venir comparer sur place. Ah si cette année ses prédictions pouvaient enfin être réalisées... En secours, il a aussi demandé les horaires de la RENFE comme cela, il pourrait en cas de changement de toutes dernières minutes tenter d'observer le phénomène de l'autre coté de la frontière. A ce même moment 
DoubleHybride se rend compte qu'il a oublié le chargeur d'accus de son appareil de photo provoquant par contre coup d'effet 
d'énervement spatio-temporelle une deuxième erreur dans le sud-est en induisant 
l'oubli d'un autre boîtier chargeur qui reste aussi à la maison orphelin de sa 
machine à communiquer. Cette dernière liaison reste toutefois encore encours 
d'analyse, compte tenu de son coté très ténue de cette diagonale 
spatio-temporelle à peine naissante. Cette fois les dés sont joués, les pions sont 
bien placés et une implacable mécanique céleste c'est mis en marche. Palm35 est 
en route avec sa Prius il a franchi la ligne virtuelle reliant Poitier à Lyon 
sans se douter qu'il vient de recevoir une mission "porter un message"...  
Une affaire à suivre prochainement
3ème indice: L'auteur 
d'un article du Picton aurait rêvé qu'il soit tiré sur une imprimerie solaire

                       
Publié dans la Nature le 26/08/1882 Page 195 !
Pendant que notre vieil homme débarque 
à Lyon pour son enquête personnelle sur un hypothétique engin roulant non encore 
identifié, il se rappelle d'une de ses anciennes publications ou il a découvert 
qu'il n'y a rien de nouveau sur terre, sa revue au nom d'un arbre ne pouvait 
même plus être tirée par l'énergie solaire comme il était pourtant possible de 
le faire il y a un siècle après la lumineuse démonstration publique d'Abel Pifre 
le 6 août 1882.  Je vous joins ici une des pièces uniques tirées sur cette 
machine comme souvenir. Mais diable comment ai-je pu rentrer en possession d'un 
tel document oublié et qui par la magie du net va d'un coup être propulsé dans 
l'espace intergalactique du temps sur des milliers de disques durs d'ordinateur 
pour que ce fait ne soit plus jamais oublié: En 1882 l'énergie solaire était déjà utilisée! Ce samedi au même instant des véhicules solaires 
accompagnés de Prius dont certains pilotes font tout pour économiser l'énergie 
jusqu'à en couper leur téléphone portable font route vers la France via le 
massif cristal parc de Cadi Moixero précisément à 1882 mètres d'altitude, elles 
ont maintenant en face la vue directe sur le massif du Puymorens en s'apprêtant 
à descendre sur Puigcerda, lui est encore a plus de 550 km du point d'impact et 
il est en train de visiter un musée pour obtenir des réponses à ses questions 
comme sur la CAMELEC TYPE B. Il le sait ce soir il prendra le train de nuit, son 
hôtel pour la nuit pour rejoindre Vierzon pour rejoindre enfin la ligne du 
train jaune électrique commençant à Villefranche de Conflent et sa ligne mythique.
4ème indice: Nous voilà donc le jour 
J.  
Commençons par ce qui c'est passé au 
début de cette journée cosmique,
Après 
avoir vainement cherché le sommeil et son changement à Vierzon, il passa une 
partie du temps à compléter soigneusement plusieurs fiches sur des véhicules 
futuristes du passé  grâce aux précieux  renseignements techniques 
qu'il a pu recueillir lors de sa visite du musée caché et secret de la campagne 
Lyonnaise. 
Il finit par s'assoupir pour  une nuit quelque peu 
chaotique 
pleine 
de visions (Pifre, Grégoire, Guerbet, toit solaire volé,
C5 de 
Saint Clair, l'oiseau de Solelhada) se terminant chaque fois par une 
certaine excitation  d'un  vieil homme solitaire qui sait 
qu'aujourd'hui il va peut-être pouvoir vérifier l'exactitude de ses prédictions. 
Il débarque à la gare de Latour de Carol à 7H51 si j'ose dire en pleine forme 
pour une épreuve redoutable: Il lui reste 17 kilomètres à parcourir et surtout 
une montée qui va le faire passer de 1200 à 1915 mètres d'altitude. Après 1,5 km 
de marche il s'arrête, car il a enfin trouvé un petit bar restaurant sur le bord 
de la N20, car il n'y avait rien d'ouvert au buffet de la gare qui se dit 
internationale. Au même moment, des véhicules bizarres se glissent en France à 
travers un ancien chemin de contrebande pas encore goudronné. C'est un petit 
groupe d'extrasolaires auquel on a tendu une Perche pour les conduire vers la 
Mecque des capteurs solaires "le four solaire d'Odeillo" et ses expériences 
mythiques des années 70 sur l'art de transformer l'énergie gratuite du soleil en 
fée électricité. Notre vieil homme après une petite collation, c'est remis à 
marcher avec sa petite canne en bois vers le 2ème objectif de son voyage 
intérieur. Les véhicules quant à eux font le plein d'électrons "le trop plein 
même" soit au soleil photovoltaïque soit grâce au réseau commun EDF de la vallée 
d'Odeillo bien équipée en microcentrales solaires afin de préparer l'assaut vers 
leur but: arriver en haut du Puymorens. Plus tard, une interférence cosmique 
passe par le Charlemagne de Viking pour faire disjoncter l'alimentation 
électrique d'une partie du four solaire d'Odeillo. Les compétiteurs du Phébus se 
précipitent alors sur les fameux sandwichs et les crèmes Mont Blanc "déjà une 
tradition" le temps que les disjoncteurs retrouvent leur esprit. Cette N20 est 
longue mais voilà enfin Porté les Puymorens, il prend sur la droite la petite 
route du col beaucoup plus calme et beaucoup plus existante,  Il lui faut 
maintenant soutenir la cadence pour atteindre avant 16H30 le sommet du col de 
Puymorens et tenter de délivrer son message, ses petits cahiers qui ne peuvent 
être placés que dans de bonne-main car il n'a pas la possibilité de les 
distribuer et les imprimer massivement, aussi en distribuer quelques-uns lors de 
cette arrivée mythique lui semble donc très rationnel. 
La 106 mobil' Eco en avance sur le planning a atteint le col 
la première, seul moyen pour la repérer par notre personnage son silence en 
pleine montée.
15H43, La Toujours Contente s'élance à l'assaut du col, 
probablement aux alentours des 15H52 je dépasse mon futur ami dans son ascension 
sans que je ne le remarque. 15H54 je gare La Toujours Contente au sommet du col. 
Il y a déjà longtemps que la 106 électrique est rangée sur son plateau.
Belenos alerte dans cette montée finale a dû le dépasser 
moins de 10 minutes plus tard et le rassurer la présence effective de véhicules 
solaires sur cette route bien calme, puis ce fut le passage d'Heliodet, du Twike 
Socelec qui passât comme une fusée suivi du Roller System, du Vectrix, du Tandem 
Bionix, du Scootelect. 
A 16H30, il arrive enfin au sommet du col et se glisse parmi 
les concurrents, il se presse pour observer le Twike pour prendre des notes 
faire des croquis pour mieux se souvenir. Il m'a raconté plus tard qu'il avait 
été impressionné par le passage du Twike qui représente à ses yeux le rêve du 
véhicule qu'il avait secrètement imaginé il y a une vingtaine d'années, un 
véhicule urbain léger à pédales biplace pour se mouvoir en ville.  Puis il 
se rappela aussi sa mission, distribuer quelques petits papiers ça et là pour 
attirer l'attention en particulier avec la carte du tramway qui déraille 
volontairement sur l'action d'un volant. Palm35 reçoit une carte qui me la 
transmet, je demande à Palm35 mais d'ou il sort cette carte "bouteille à la 
mer", il m'indique alors la direction du vieux monsieur, je me précipite. 
"Bonjour je crois que vous avez plein de chose à m'appendre", 
et ce fut le début d'une conversation d'une densité incroyable ou les mots 
technologiques vont s'égrener à la vitesse d'un télescripteur tant il y a de 
chose à dire, cela fessait tant de temps qu'il attendait cet instant. Je 
découvre alors avec stupéfaction qu'il a monté à pied le col à l'issue d'un 
incroyable voyage pour distribuer ses petits guides "Les cahiers du CEDRE" sa 
vison du véhicule propre qu'il avait placé dans son petit sac à dos et aussi 
dans l'espoir de découvrir que le véhicule de ses rêves existe enfin: Le 
Twike ! 
Le temps tourne, devant rentrer sur Perpignan ce soir, je 
propose alors à notre Journaliste de l'histoire technologique que l'on le 
raccompagnâtes à bord du véhicule futuriste de son choix: nous avons ici une 
Prius qui part en direction de Toulouse, une Prius qui part en Direction de Nice 
et la Toujours Contente qui part vers Perpignan. "Cela me ferait vraiment plaisir 
d'essayer le véhicule électrique". Notre personnage surprise, notre seul 
visiteur et combien énigmatique présage à venir assister à l'arrivée du Phébus 
2007 va pouvoir ainsi idéalement suivre son véhicule électrique "idéal" le Twike 
"Socelect" durant notre descente du col et notre route vers Latour 
Carol. Il va aussi me raconter en route sa vison du véhicule électrique  
pendant qu'il remplit fébrilement son petit carnet sur toutes les informations 
techniques sur la Toujours Contente, impressionné par sa faible consommation en 
Wh au Km et son silence. Arrivé à la gare, Il me laisse un exemplaire de chacun 
de ses cahiers en échange d'une carte de la Toujours Contente ainsi qu'une 
invitation pour la rencontre historique entre la Toujours Contente et la Jamais 
Contente le 8 et 9 septembre 2007 à Créhange. Je le dépose à la Gare de Latour 
Carol, ou il compte prendre un train pour Toulouse pour rejoindre Poitiers.
Alors 
mais qui est donc ce mystérieux personnage, Il m'a fallu un peu de patience 
pour le découvrir à mon retour sur Lyon en lisant ses Cahiers du CEDRE et puis 
en l'appelant au téléphone.
Michel "maintenant retraité" a été le journaliste rédacteur 
des Cahiers du Cèdre dont le premier numéro est sorti dans les années 80. Je 
comprends mieux maintenant sa culture technologique et historique sur le 
véhicule propre.
Chaque cahier traite de façon très scientifique mais aussi 
ludique d'un thème, par exemple le N°19 sorti au printemps 2001 a traité de la 
locomotion électrique et solaire
en 
l'AN 2000. Avec l'autorisation de Michel voici une des planches de ce cahier qui 
traite du véhicule solaire. C'est un ami qui lui avait relaté l'arrivé du Phébus 
2000 le 12 juin 2000 à la cité de l'espace à Toulouse et qui a été la source 
d'inspiration de
cette planche.
Alors vous n'y tenez-plus, vous souhaitez vous aussi un 
contact du 3ème type alors écrivez "par voie postale" à cette adresse:
Les Cahiers du Cèdre, Michel Houiller, 13 rue Ernest Pérochon 
86000 Poitiers. 
Les Cahiers du Cèdre N° 1 à 26 sont épuisés, les deux 
derniers numéros sortis sont encore disponibles à la vente:
  - 
  
Le N°27 traite du char à voile "en particulier dans le 
contexte du rassemblement du Touquet", du char à huile au char à jambes...
 
  - 
  
Le N°28 traite du sujet du moteur à eau, du moteur à Ester de 
colza
 
Chaque numéro est vendu 5 euros, il vous suffit de lui faire 
parvenir un chèque dans votre courrier avec votre adresse. Michel ne dispose pas 
de l'Internet.
  - 
  
1980 Cahier N°1 - Sur les voitures électriques
 
  - 
  
1983 Cahier N°2 - Sur les voitures électriques
 
  - 
  
1985 Cahier N°3 - Le centenaire de la voiture électrique 
  (Jean Taud, Kreiger, Porche, Bugatti, Arzens, Schaudel, Grégoire)
 
  - 
  
1985 Cahier N°4 - Environnement - La circulation en ville
   
  - 
  
1985 Cahier N°5 - Véhicules solaires - Raid Zinder - Dakar 
  (par Bernard le Pivain)
 
  - 
  
1985 Cahier N°6 - Véhicules solaires - le Tour de Sol 85 
  (1ère course)
 
  - 
  
1987 Cahier N°7 - Sur les voitures électriques
 
  - 
  
1988 Cahier N°8 - Véhicules solaires - (reportage de 
  Patrick Negro)
 
  - 
  
1989 Cahier N°9 - Energie - Véhicules solaires - Grand Prix 
  du soleil 1987
 
  - 
  
1990 Cahier N°10 - Le Lithium et l'énergie (ce cahier est 
  en cours de mise à jour)
 
  - 
  
1991 Cahier N°11 - Poésie électriques - René Legros
   
  - 
  
1991 Cahier N°13 - Environnement - Les clés de la voiture 
  propre
 
  - 
  
1992 Cahier N°15 - Energie - L'intelligence et l'énergie
   
  - 
  
1998 Cahier N°16 - Energie - La problématique du nucléaire
   
  - 
  
1999 Cahier N°18 - Energie - Les piles à combustible
   
  - 
  
2000 Cahier N°19 - Circulation urbaine - L'an 2000
 
  - 
  
2002 Cahier N°20 - Véhicules solaires - l'an 2001 NUNA 
  Darwin - Adelaïde en 4 jours
 
  - 
  
2003 Cahier N°21 - Matériaux - Technologie - un robot 
  Solaire sur mars
 
  - 
  
2004 Cahier N°23 - La voitures Electriques en 2004
 
  - 
  
2006 Cahier N°26 - Energie - Le cycle Stirling Expliqué
   
  - 
  
2007 Cahier N°27 - Véhicules propres - Chars à voiles, à 
  huile, à jambes
 
EPILOGUE PROVISOIRE: 
Après avoir quitté Michel à la gare de Latour Carol, je pars pour de nouvelles 
aventures avec Macyan pour aller lui faire découvrir les bains de Dorres. 

Sur ces panneaux avec un peu d'imagination on peut en faire 
une lecture ésotérique: on y voit un panneau THEMIS "du temps de sa célébrité de 
centrale électrique solaire", mais aussi très curieusement "Les Angles" le point 
de recharge planifié pour demain de La Toujours Contente entre Perpignan et Lyon, une bien 
étrange coïncidence... on y lit aussi DORRES là ou nous nous rendons pour une 
sorte de route Buissonnière ou Madame peut s'y doorer...  
A cet étrange carrefour, On laisse la Toujours Contente au 
pied de la montagne pour préserver une arrivée sur Perpignan ce soir et c'est en 
Prius que nous partons à la découverte des bains thermaux. 

Il eut été indécent d'y passer avant de monter au col de 
Puymorens comme en 2006.
Imaginez, vous vous seriez prélassé dans une eau à 39°C 
jaillissant naturellement des volcans pyrénéens dans des baignoires de roche et 
son étrange bassin en plein air durant qu'un vieil homme grimpait péniblement à 
pied le col de Puymorens pour un improbable rendez-vous dont il ignorait tous 
les détails, aussi pour éviter de liquider cette rencontre du 3ème type le grand-livre de l'univers à donc repousser naturellement la visite des bains de Dorres 
après la fin du Phébus 2007 !
Je ne me doutais pas lors de cette vison idyllique d'une chaleur 
gratuite et naturelle que la journée était très loin de se refermer...
Aussi, mieux vaut de rêver sur cette image d'un lieu sympa où des décisions 
secrètes et vitales ont été prîtes

 
Un grand Merci à NOVOTEL:
NOVOTEL PERPIGNAN a permis la recharge de la Toujours Contente à l'aller comme au Retour avec une tarification 
alléchante obtenue grâce à une réservation "early bird" sur Internet très performante.
NOVOTEL GERONA, la charge pour participer à la 1ère étape du 
Phébus
 
A Midi j'atteins mes amis Aux Angles batterie à 0% ! il était 
temps d'arriver, la recharge fut donc plus longue, juste le temps de compter une 
première fois la belle aventure du Phébus 2007.
La Toujours Contente est rentrée tardivement sur Lyon le 4 
juin après 2 heures de recharge au groupe électrogène sur l'air de Donzère, puis très gros orages - Pluie colossale - 
Visibilité nulle - Elle s'en est sortie indemne!  
CONCLUSIONS:
Soyez observateur et attentif à 
votre entourage, il s'y passe des choses extraordinaires et ne prenez que le bon 
coté des choses.  Participer au Phébus était déjà un véritable don du ciel 
pour ceux qui ont su sentir ses bonnes vibrations pour oser cette aventure 
humaine et technologique, optimiste et décalée.
Pour ma part, jamais je n'aurais osé 
traverser la France par le train et y dormir pour venir à pied rejoindre le 
sommet d'un col ou doit probablement arriver un rallye de véhicules solaires 
afin de venir y prêcher la bonne parole et constater les progrès de la 
technologie. Cela aurait été surhumain pour moi, bref une véritable leçon de vie 
montrée par Michel.
Il 
y a eut beaucoup de coïncidences sur ce rallye que je ne peux pas tout vous 
conter ici, à mon retour sur Lyon je rencontre une bonne amie à qui je raconte 
ce qui m'est arrivé, elle me dit "c'est tout à fait normal" As-tu lu la 
Prophétie des Andes? Ma fois non! lit le bouquin et tu comprendras. Je viens de 
recevoir le petit bouquin (5,7 Euros au format poche) et il faut dire que moi 
étant plutôt de culture cartésienne et scientifique je suis extrêmement troublé 
pas ce bouquin. Depuis que je l'ai lu, il m'arrive encore plus d' histoires de 
coïncidences invraisemblables comme à d'autres personnes, en faite le monde est 
entrain de changer. L'essai de James Redfield est 
disponible en ligne sur ce lien, je vous le conseille vivement mais peut 
être l'avez vous déjà lu car il s'est déjà vendu à 12 millions d'exemplaires 
dans le monde.
La prochaine aventure sera la rencontre "Toujours Contente" 
"Jamais Contente" début septembre à Créange, puis se sera la 2ème 
traversée des Alpes en VE en septembre 2007 et enfin je pars en quête de 
solutions de sponsoring pour participer au formidable projet de "La Green Verte" "Paris 
- Pékin 14.000 km en voiture Electrique dont un col à plus de 3900 mètres d'altitude " 
et à mon tour d'y faire passer un message.
Grandes lignes techniques pour la Toujours Contente: 4,8 l aux 100 
km en moyenne sur 
les 1444 km de l'aventure Phébus 2007 (y compris les approches) et 148 kWh consommés en électricité.
Epreuves Phébus 2007 à 100% électricité sur 251 Km 41 
kWh, une petite partie de l'électricité n'ayant pas put être fourni par le 
secteur public faute de puissance installée pour une quinzaine de VE et autres 
VAE, il a été nécessaire de le produire en partie avec un petit groupe 
électrogène (2 litres d'essence consommés pour la Toujours Contente). Pour la 
partie Phébus la consommation au km a été de 163 Wh au kilomètre avec un point 
de départ à une altitude de 130 m et une arrivée 1900 m avec le passage de très 
nombreux cols. Une fois déduit les 1700m de gradient pour élever 1800 kg de 1700 
m il reste 129 Wh au kilomètre. L'énergie gravitationnelle disponible au sommet de Puymorens 
ayant permis un retour sur Perpignan avec une très faible consommation.
Retour aux aventures quotidiennes de 
mai et juin 2007 c'est ici
Au programme d'ici la fin 2007:
Rencontre insolite de VE célèbres à Créhange, 
2ème traversée des Alpes en VE, ...
En projet pour 2010: 
La Green Cruise "Paris 
Pékin" 14.000 km en voiture électrique une aventure écologique qui devrait 
marquer les esprits pour les 100 prochaines années.
Une aventure à l'initiative 
de l'association Mobil' Eco.
La phase II du test hybride est ouverte avec le
le 
test de la PRIUS II 
, il y a donc deux véhicules hybrides avec deux  
approches différentes qui vont faire la compétition écologique. Sur les 
mêmes parcours, les consommations et les coûts sont comparés à la loupe. Et vous 
saurez tout pour faire le choix du véhicule le plus adapté à vos besoins pour 
faire des économies et de l'écologie.